Team judge : Azad
Le French Throwdown ne serait pas ce qu’il est sans la grande équipe de bénévoles qui font de cet évènement un succès. Aujourd’hui, on vous présente Azad, un de nos bénévoles présent depuis 2014.
Quand on lui demande de nous parler de son expérience avec le French Throwdown, c’est avec plaisir qu’il répond.
L’occasion de voir l’évolution du FTD
Je suis bénévole au French Throwdown depuis 2014. J’y ai toujours été bénévole, en tant que juge puis en tant que “Team Lead Judge”.
J’ai eu la chance de voir l’évolution de cette compétition au fils des années. De l’INSEP au Vélodrome de Saint-Quentin, en passant par le Stade Charlety. Chaque année, les French Throwdown ont su grandir, se diversifier et ainsi permettre d’avoir toujours de nouvelles épreuves dignes des CrossFit Games. Le niveau des athlètes n’a aussi fait que grandir. Les athlètes sont impressionnants et se qualifier aux French Throwdown même en « Scaled » est preuve d’un haut niveau.
Un juge intransigeant
Être juge, il ne faut pas croire que c’est un travail simple. Durant le weekend, on est les personnes les plus haï, hué, sifflé. Une simple “No Rep” peux couter la victoire à l’athlète. Certains athlètes se rappellent des No Rep qu’on leur a mis des années auparavant, et nous le rappellent lors des éditions suivantes.
Une chance de côtoyer de grands athlètes
Mais tout n’est pas mauvais à être bénévole. Cela m’a permis de rencontrer au fil des années des athlètes de grands calibres.
En 2014, j’ai eu la chance de voir Sara Sigmundsdottir gagner sa première compétition de CrossFit. Et c’était au French Throwdown.
En 2015, j’ai eu la chance de voir André Houdet en compétition. Déjà à l’époque il avait son mindset et on voyait qu’il irait loin.
En 2016, j’ai eu la chance de rencontrer Brooke Wells.
Et finalement tellement d’autres.
Une véritable expérience
Cela m’a aussi permis de rencontrer une communauté Française qui n’a rien à envier aux USA, une communauté de bénévoles qui ne veulent que bien faire et rendre le weekend agréable à tout le monde. Il n’y a pas de mot pour décrire l’ambiance des French.
Oui, c’est fatiguant (vive le café), mais voir les gens heureux, les voir passer un bon weekend, fait que chaque année on revient et on veut toujours bien faire.