Team Shepherd : Sabine
Depuis 2016, Sabine est fidèle au poste, elle n’a pas raté une seule édition du French Throwdown.
Une passionnée
Je fais du CrossFit depuis plus de 10 ans et participe en tant que bénévole au French Throwdown depuis 2016. Au départ, c’était la curiosité de découvrir les coulisses d’une compétition prestigieuse de CrossFit qui me motivait.
En mai 2016, je me suis fait un ligament croisé mais pas question de rater l’événement. Quelques jours avant mon opération, j’étais donc venue avec mon attelle qu’on entendait grincer à 100m dans les couloirs de l’INSEP, trop la classe !
La naissance de la team Shepherd
A l’époque, il était usuel que les compétitions de CrossFit finissent avec 1 à 2 heures de retard, ce qui dérangeait Daniel et Julian pour qui, la ponctualité de l’apéro du dimanche soir était sacrée… Enfin c’est la seule raison valable que je vois !
Ils ont donc proposé à quelques bénévoles de la team “Care” d’accompagner et de guider les athlètes pendant la compétition et de faire leur maximum pour qu’ils soient à l’heure pour leurs départs de WOD et avec le sourire bien sûr.
En 2016, le FTD finissait avec “seulement” une demi-heure de retard. La team “Berger” était née. J’ai eu la grande chance de participer à cette naissance.
Au fil des années, l’organisation de la team Shepherd s’est affûtée. Avec une motivation incroyable de ses bergers, elle permet à la compétition une synchronisation à la minute près, voire souvent à quelques secondes près !
Un vrai travail d’équipe
Le timing est souvent chaud et j’aime beaucoup cette pression ainsi qu’être confrontée à l’imprévu qui ajoute du piquant à la vie. Toutes nos erreurs sont source d’amélioration et je surkiffe les brainstormings de mon équipe.
On trouve ensemble les solutions. On améliore ensemble notre travail, chacun offre sa perspective et enrichit la team de ses idées.
Être bénévole, une addiction ?
Je reviens tous les ans parce que je suis devenue addict à cet esprit de groupe assez unique du French Throwdown.
La première année, j’étais tellement intimidée par tous ces athlètes plus entraînés et plus efficaces les uns que les autres, que je me cachais sous ma casquette.
Maintenant, je suis tellement contente de revoir les habitués et les newby (compétiteurs comme bénévoles) du FTD année après année que je n’ai plus ma casquette, elle cache ma vision.
Chaque année, j’ai l’impression que l’émotion de la compétition est plus forte que l’année précédente. Le French Throwdown, c’est mieux que la coke !